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Conception artistique : Émilie Borgo en collaboration avec les artistes
Danse et performance : Wajdi Gagui, Émilie Borgo, Laurent Chanel
Musique live te performance : Jules Beckman
Super 8 : Alessandro Franceschelli
Création lumière et construction décors : Véro Gougat et Clément Kaminski assistés par Fabien Garny
Collaboration chorégraphique : Anne-Catherine-Nicoladzé
Collaboration sonore : Xavier Saïki
Collaboration costume : Lucile Clair
"La toute nouvelle aventure conçue par Émilie Borgo se place résolument ailleurs : après Silence ! en 2011 qui explore la différence et Corps Pays-singes en 2012 qui explore la danse en extérieur. Alors où est-ce ? Dans un (no)man’s land paradoxal puisqu’il est en fait rempli d’hommes ! Et quels hommes : de fortes personnalités avec trois danseurs et un musicien tous performers. Ensemble, ils explorent les espaces d’entre-deux (en dehors de nous et en nous) où se confrontent, se croisent, s’aiment, se frottent des corps et des sons. Un espace pour inventer, un espace à inventer... »
Coproductions EPCC-Théâtre de Bourg-en-Bresse, Scène conventionnée, Association vu d’un oeuf (Fresnes-en-Woevre), Aide à la création (Conseil Général de l’Ain), FIACRE international (Région Rhône-Alpes), Accueil studio Le Serre (Barnave), Résidence au collège Eugène Dubois (Chatillon/Chalaronne), Partenariat Association Col’Jam (Casablanca)
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Rencontres chorégraphiques de Casablanca, 30 octobre et 1 novembre 2015
Première Théâtre de Bourg-en-Bresse, 15 et 16 janvier 2015
Performance carte blanche Festival Densité, Fresnes-en-Woëvre, 26 octobre 2013
photos : ©Isa Borgo, Yvette Louis, vidéo : Guillaume Bertrand
" Le sujet que vous abordez est vraiment fort et percutant en ce moment. Il nécessite des approches diversifiées : politiques, militantes, historiques, sociologiques, anthropologiques... et bien sûr artistiques. Donc, chercher à ébranler les consciences à propos du partage de notre planète, de la notion de territoire... et jusqu’au partage de soi me touche beaucoup. Le duo que vous avez présenté hier est à la fois chargé de sens concernant le propos choisi et, vous vous appuyez pour le faire sur un travail corporel qui intègre à la fois le propos et l’écriture. Il me semble que c’est bien pour cela que l’on ressent plein d’émotions. Pendant que vous vous « entremêlez » à la recherche de vos creux articulaires jusqu’aux limites de vous...et sur un plan qui est entre ciel et terre, précaire ... la carte, du monde en mouvement précédemment projetée, continue de fonctionner dans notre imaginaire, pour élargir encore notre appréhension sensorielle des espaces partagés ou à partager. Le duo n’est donc pas une mise en forme d’une idée, ou des mouvements qui donnent à voir des idées... mais il est une articulation continue en son sein, entre écriture esthétique et sens. Pour moi, dès lors que cela se passe, le spectateur et l’artiste sont pris dans un échange artistique où chacun peut vivre son imaginaire et ses émotions en toute loyauté et respect..." Point de vue de Michelle Coltice, spectatrice du travail en cours de travail, mai 2015.
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